. Moving | In Pictures : Phosphorescent .
Il m'a bien fallu deux mois pour trouver un moyen de vous faire profiter de vidéos live excessivement volumineuse .
Parmi celles qui me tiennent particulièrement à cœur : une vidéo en deux partie de Phosophorescent.
Le barbu de Brooklyn était de passage à mains d'œuvres pour assurer la première partie de la fantastique Jana Hunter (en électrique ce soir là). Le moins qu'on puisse dire, c'est que, encore une fois, la salle était bien vide.
L'ensemble de sa prestation faisait relativement pale figure à coté de celle de Jana Hunter. Matthew Houck était seul sur scène (je ne sais pas si c'était le cas à la Maroquinerie dernièrement).
Mais j'ai écouté l'album depuis et le magnifique Pride fera surement partie de ceux que je vais écouter, en boucle, sans me lasser.
J'ai quand même été amusée en écoutant l'album. Plusieurs fois j'ai cru m'être trompée de disque et avoir glissé celui de Beirut et d'Herman Dune dans mon lecteur .
En écoutant l'intro de "wolves" au ukulélé ; ou en écoutant "cocaine lights" dont les airs me rappellent toujours "with a fistfull of faith" d'Herman Dune.
Deux titres enchainés en vidéo . Une paire de jambe dans le champ de vision et Houck qui quitte même la scène et mon plan fixe.
A venir dans Moving|In Pictures [dans le désordre] : Antilles, Woven Hand et Winter Family .
Parmi celles qui me tiennent particulièrement à cœur : une vidéo en deux partie de Phosophorescent.
Le barbu de Brooklyn était de passage à mains d'œuvres pour assurer la première partie de la fantastique Jana Hunter (en électrique ce soir là). Le moins qu'on puisse dire, c'est que, encore une fois, la salle était bien vide.
L'ensemble de sa prestation faisait relativement pale figure à coté de celle de Jana Hunter. Matthew Houck était seul sur scène (je ne sais pas si c'était le cas à la Maroquinerie dernièrement).
Mais j'ai écouté l'album depuis et le magnifique Pride fera surement partie de ceux que je vais écouter, en boucle, sans me lasser.
J'ai quand même été amusée en écoutant l'album. Plusieurs fois j'ai cru m'être trompée de disque et avoir glissé celui de Beirut et d'Herman Dune dans mon lecteur .
En écoutant l'intro de "wolves" au ukulélé ; ou en écoutant "cocaine lights" dont les airs me rappellent toujours "with a fistfull of faith" d'Herman Dune.
Deux titres enchainés en vidéo . Une paire de jambe dans le champ de vision et Houck qui quitte même la scène et mon plan fixe.
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