. Bon Iver : Forever Ago .
Il était un peu trop tard à mon retour de la Maroquinerie pour écrire quelques lignes sur la prestation de Bon Iver. L'envie ne manquait pas mais la fatigue a eu raison de mon enthousiasme.
Rentrée Maroquinerie pour moi donc. J'avais raté Bon Iver déjà plusieurs fois, juxtaposition d'agenda concerts ou migraines ont eu raison du talent de Justin Vernon, Mike Noyce et
Sean Carey.
J'avais laissé Bon Iver dans un coin de l'agenda le 21 mai dernier et je n'avais pas vraiment imaginé qu'en 6 mois le phénomène avait pris de telles proportions.
Une Maroquinerie complète pour ceux qui étaient encore il y a quelques temps des inconnus venus du fin fond du Wisconsin. Tellement inconnus que ça ne gênait pas grand monde quand Libé décidait de les appeler Jon Iver.
Une fois dans la salle avec une partie de la troupe, extinctions des feux. Je n'avais pas entendu une telle hystérie depuis longtemps, j'en ai sursauté.
Je ne m'explique toujours pas ce qui s'est passé en 6 mois pour qu'on en arrive là, mais le tapage était mérité. Justin Vernon nous a baladé .
J'ai usé le talon de mes nouvelles chaussures à frapper le sol du 23 rue Boyer. Il y'a eu ce moment apogée, arrivé sans crier gare!, ce "Wolves" qui monte et qui attrape les tripes.
Rentrée Maroquinerie pour moi donc. J'avais raté Bon Iver déjà plusieurs fois, juxtaposition d'agenda concerts ou migraines ont eu raison du talent de Justin Vernon, Mike Noyce et
Sean Carey.
J'avais laissé Bon Iver dans un coin de l'agenda le 21 mai dernier et je n'avais pas vraiment imaginé qu'en 6 mois le phénomène avait pris de telles proportions.
Une Maroquinerie complète pour ceux qui étaient encore il y a quelques temps des inconnus venus du fin fond du Wisconsin. Tellement inconnus que ça ne gênait pas grand monde quand Libé décidait de les appeler Jon Iver.
Une fois dans la salle avec une partie de la troupe, extinctions des feux. Je n'avais pas entendu une telle hystérie depuis longtemps, j'en ai sursauté.
Je ne m'explique toujours pas ce qui s'est passé en 6 mois pour qu'on en arrive là, mais le tapage était mérité. Justin Vernon nous a baladé .
J'ai usé le talon de mes nouvelles chaussures à frapper le sol du 23 rue Boyer. Il y'a eu ce moment apogée, arrivé sans crier gare!, ce "Wolves" qui monte et qui attrape les tripes.
500 personnes à se demander en coeur "What might have been lost" et à hurler sans retenue.
Çà avait le gout du "Weeping Willow" de Sébastien Schuller (un soir de juillet 2007) qui monte,qui monte et vous laisse au bord du vide et pris de vertige quand il s'arrête .
Il y a eu un deuxième rappel à tomber à la renverse en chœur avec Anais Mitchell "Lovin's fool fools", reprise de Sarah Suskind.
Applaudissements à tout rompre comme si la perle du siècle avait été dénichée. Peut-être pas la perle, mais surement un des meilleurs albums et un des meilleurs concerts de l'année.
What might have been lost ? Je n'en ai pas perdu une miette.
Photo oliver.peel
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Commentaires
Mon compte-rendu ici : http://0plus0.wordpress.com/2008/10/04/bon-iverla-maroquinerie-20081002/
On s'est rencontrés à la flèche? à quel concert ?