. Moving / In Pictures : Gravenhurst @ BB MIX Festival .
Tous les ans je me dis la même chose, le BB Mix Festival, c'est loin mais c'est beau.
Cette année encore l'équipe de Discobabel n'a pas (trop) démérité en matière de programmation (on n'insistera pas sur la faute de gout que constituait les Shades le premier soir du festival).
Éloignement oblige, cette année, j'ai séché une grande partie du festival pour en garder - le meilleur ? - la deuxième soirée.
Samedi dernier Dogbowl, nous a amusés et charmés, Momus m'aura profondément gonflée avec son pseudo cynisme et sa capacité à se rouler par terre, un exercice surement comique qui ne relevait en rien du "concert", on oubliera assez vite ( il vaut mieux) la performance "Jaune Sous-Marin" de Cyrille Martinez qui était censée égayer le bar et on ne regardera pas la fin du concert des Drones, parce que c'était bien de voir des guitares qui envoient pour une fois, mais après tout, le Carré Bellefeuille, c'est beau, mais c'est loin.
On retiendra donc essentiellement la performance de Gravenhurst, parce que c'était beau, sensible et triste mais apaisant.
C'était tellement beau que je n'ai pas résisté à l'envie de filmer ça. Trois morceaux de Gravenhurst - vous connaissez la chanson pour cette rubrique - d'une qualité discutable.
Cette année encore l'équipe de Discobabel n'a pas (trop) démérité en matière de programmation (on n'insistera pas sur la faute de gout que constituait les Shades le premier soir du festival).
Éloignement oblige, cette année, j'ai séché une grande partie du festival pour en garder - le meilleur ? - la deuxième soirée.
Samedi dernier Dogbowl, nous a amusés et charmés, Momus m'aura profondément gonflée avec son pseudo cynisme et sa capacité à se rouler par terre, un exercice surement comique qui ne relevait en rien du "concert", on oubliera assez vite ( il vaut mieux) la performance "Jaune Sous-Marin" de Cyrille Martinez qui était censée égayer le bar et on ne regardera pas la fin du concert des Drones, parce que c'était bien de voir des guitares qui envoient pour une fois, mais après tout, le Carré Bellefeuille, c'est beau, mais c'est loin.
On retiendra donc essentiellement la performance de Gravenhurst, parce que c'était beau, sensible et triste mais apaisant.
C'était tellement beau que je n'ai pas résisté à l'envie de filmer ça. Trois morceaux de Gravenhurst - vous connaissez la chanson pour cette rubrique - d'une qualité discutable.
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