.Michael Jackson (1958 - 2009) : Do you remember the time .
Je vais pas dire ce que tout le monde sait, que Michael quand même, génie du siècle, que Thriller ce ci et que les petits enfants celà. Non, finalement je vais parler de moi et des passages que Jackson a fait dans ma vie. Je suis un peu moins émue que pour Bashung, c'est certain. C'est très différent. Parce qu'on sait tous que Jackson ça fait un paquet d'années qu'il était comme un peu mort, et puis voilà, c'est pas pour ces qualités humaines qu'il a marqué ma vie.
Je ne suis pas très sure de la periode à laquelle j'ai entendu Jackson pour la première fois. Mon premier souvenir certain date de 1991, noël 1991, ma toute première K7 : Dangerous.
A part les vieux vynils 80's de ma grande cousine, les K7 tops des tops vol.50, hits des hits vol.99 des parents et radio superloustic je n'avais pas grand chose à me mettre dans les oreilles.
Je me souviens avoir beaucoup regardé cette pochette un peu énigmatique, pas tant que ça de son contenu, à part les grands tubes, le clip de "Black or white" avec Macaulay Culkin "but dad this is the best part" qui avait le vent en poupe avec Maman, j'ai raté l'avion et qui faisait toujours aussi bien le gosse terrorisé (un petit come back pour l'occasion d'ailleurs ?) et toute la partie morphing qui me fascinait et moi qui essayait de faire pareil avec ma tête devant ma télé.
Jackson je l'ai retrouvé en 1995, quand on m'a offert HIStory: Past, Present and Future – Book I pour mon anniversaire, si je me souviens bien.
C'était l'époque de "You are not alone" et avec ma soeur et ma cousine on se foutait quand même bien de sa gueule, de sa coupe de cheveux, de sa chemise ouverte sur son torse horriblement blanc et imberbe et de sa façon d'essayer d'être sexy, là, torse nu sur son rocher ou de se tripoter les couilles à des moments pas du tout appropriés.
Bizarrement c'est à la même époque que j'ai viré un peu obsédée. Une phase de quelques mois, le même été. J'avais acheté ONE Magazine spécial Michael Jackson il me semble (bon quand j'ai cherché la couv sur internet, je suis tombée là dessus) ou un truc edité par un fan club. Il y avait de la pub justement pour y adherer, j'étais à deux doigts de prendre ma carte, c'était un truc par grade ou tu étais chevalier je ne sais quoi et tu avais le droit a un tas de gadgets alléchants et je disais à mon petit frère qu'il n'était rien puisqu'il n'était pas chevalier-truc. Une période grave en somme.
A la même époque ma soeur nourissait un amour louche pour Slash. Tout ça a donné lieu a des scéances d'écoute hystériques et en boucle de "They don't care about us". Je pense qu'on a pratiqué le air guitar avant l'heure en imitant Slash les cheveux dans le vent. C'était encore l'époque ou j'entendais "everybody allagesh" au lieu d' "Everybody allegation"
Je ne suis pas très sure de la periode à laquelle j'ai entendu Jackson pour la première fois. Mon premier souvenir certain date de 1991, noël 1991, ma toute première K7 : Dangerous.
A part les vieux vynils 80's de ma grande cousine, les K7 tops des tops vol.50, hits des hits vol.99 des parents et radio superloustic je n'avais pas grand chose à me mettre dans les oreilles.
Je me souviens avoir beaucoup regardé cette pochette un peu énigmatique, pas tant que ça de son contenu, à part les grands tubes, le clip de "Black or white" avec Macaulay Culkin "but dad this is the best part" qui avait le vent en poupe avec Maman, j'ai raté l'avion et qui faisait toujours aussi bien le gosse terrorisé (un petit come back pour l'occasion d'ailleurs ?) et toute la partie morphing qui me fascinait et moi qui essayait de faire pareil avec ma tête devant ma télé.
Jackson je l'ai retrouvé en 1995, quand on m'a offert HIStory: Past, Present and Future – Book I pour mon anniversaire, si je me souviens bien.
C'était l'époque de "You are not alone" et avec ma soeur et ma cousine on se foutait quand même bien de sa gueule, de sa coupe de cheveux, de sa chemise ouverte sur son torse horriblement blanc et imberbe et de sa façon d'essayer d'être sexy, là, torse nu sur son rocher ou de se tripoter les couilles à des moments pas du tout appropriés.
Bizarrement c'est à la même époque que j'ai viré un peu obsédée. Une phase de quelques mois, le même été. J'avais acheté ONE Magazine spécial Michael Jackson il me semble (bon quand j'ai cherché la couv sur internet, je suis tombée là dessus) ou un truc edité par un fan club. Il y avait de la pub justement pour y adherer, j'étais à deux doigts de prendre ma carte, c'était un truc par grade ou tu étais chevalier je ne sais quoi et tu avais le droit a un tas de gadgets alléchants et je disais à mon petit frère qu'il n'était rien puisqu'il n'était pas chevalier-truc. Une période grave en somme.
A la même époque ma soeur nourissait un amour louche pour Slash. Tout ça a donné lieu a des scéances d'écoute hystériques et en boucle de "They don't care about us". Je pense qu'on a pratiqué le air guitar avant l'heure en imitant Slash les cheveux dans le vent. C'était encore l'époque ou j'entendais "everybody allagesh" au lieu d' "Everybody allegation"
Tout ça, ça me fait bien rire quand j'y repense. Ca a du prendre fin après une chute de roller, le choc m'a remise sur le droit chemin.
En revanche, je suis désolée pour elle, j'ai pas de souvenirs précis d'un épisode inoubliable de Drôles de dames avec Farrah Fawcett.
Commentaires
Par contre Farrah Fawcett, moi j'en ai des souvenirs inoubliables. Drole de dames se fut longtemps mon idéal féminin bien avant mon cm1.